Unterirdisch : vers une architecture karstique [texte imprimé] / Maïlys Lechtchev, Auteur . - Bruxelles : ULB, 2025 . - 1 vol. (205 p.) : illustrations en noir et blanc ; 18 x 26 cm. Langues : Français ( fre)
Catégories : |
Catégorie BBS Ouvrages généraux
|
Mots-clés : |
Thèse architecture souterrain grotte exploration géologie Karst |
Index. décimale : |
8.5 Ouvrages généraux - Beaux livres |
Résumé : |
Sous terre, le projet prend forme. J'ai passé sept heure sous terre. A ramper, à glisser, à attendre. L'air se faisait rare, le silence dense. Il n'y avait plus de repères, plus de lignes, plus de ciel. Le corps se plie, se frotte, s'ajuste. Chaque geste devient spatial. Là, au fond, l'architecture n'existe pas. Mais tout est déjà construit : volume accidenté, percées invisibles, matières vivantes. Le calcaire n'est pas un sol. C'est un palimpseste. Une mémoire lente, modelée par l'eau, par le temps, par l'absence humaine.
Le projet ne part pas as d'un lieu. Il part d'une immersion.
Il cherche à traduire ce que l'on ressent quand on n'a plus de verticalité, quand on ne fait plus qu'un avec le terrain. Il tente de relier surface et souterrain, sensible et structurel.
L'intervention architecturale n'est pas une réponse.
Elle est une écoute. |
Note de contenu : |
bibliographie |
Titre : |
Unterirdisch : vers une architecture karstique |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Maïlys Lechtchev, Auteur |
Editeur : |
Bruxelles : ULB |
Année de publication : |
2025 |
Importance : |
1 vol. (205 p.) |
Présentation : |
illustrations en noir et blanc |
Format : |
18 x 26 cm |
Langues : |
Français (fre) |
Catégories : |
Catégorie BBS Ouvrages généraux
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Mots-clés : |
Thèse architecture souterrain grotte exploration géologie Karst |
Index. décimale : |
8.5 Ouvrages généraux - Beaux livres |
Résumé : |
Sous terre, le projet prend forme. J'ai passé sept heure sous terre. A ramper, à glisser, à attendre. L'air se faisait rare, le silence dense. Il n'y avait plus de repères, plus de lignes, plus de ciel. Le corps se plie, se frotte, s'ajuste. Chaque geste devient spatial. Là, au fond, l'architecture n'existe pas. Mais tout est déjà construit : volume accidenté, percées invisibles, matières vivantes. Le calcaire n'est pas un sol. C'est un palimpseste. Une mémoire lente, modelée par l'eau, par le temps, par l'absence humaine.
Le projet ne part pas as d'un lieu. Il part d'une immersion.
Il cherche à traduire ce que l'on ressent quand on n'a plus de verticalité, quand on ne fait plus qu'un avec le terrain. Il tente de relier surface et souterrain, sensible et structurel.
L'intervention architecturale n'est pas une réponse.
Elle est une écoute. |
Note de contenu : |
bibliographie |
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